Un cocon 1:1 pour réaligner ce que tu vis avec ton enfant avec ce que tu rêves de transmettre.
Coaching en parentalité1:1
Parent 'aventure
Une aventure collective pour incarner une parentalité ancrée et sereine.
Un chemin clair en 7 étapes pour arrêter de crier et retrouver le plaisir d'être parents !
La Roadmap

Tu veux ce que veulent TOUS les parents : se faire obéir sans crier. (le graal quoi, ni plus ni moins !).
Pas pour avoir une maison “parfaite” version Bree Van De Camp dans Desperate Housewifes.
Pas pour que tes enfants marchent droit façon “service militaire”.
Mais parce qu’à force de répéter, expliquer, négocier, patienter… tu t’épuises.
Tu connais cette scène par cœur :
Tu demandes une fois qu’il vienne à table.
Deux fois.
Trois fois.
Rien ne bouge.
Et alors que tu voulais rester calme… tu montes d’un ton.
Puis tu cries.
Et juste après, la culpabilité t’arrive dessus comme une vague.
Tu te demandes :
“Pourquoi il n’écoute pas ? Qu’est-ce que je rate ? Pourquoi j’en viens encore à crier ?”
Spoiler : tu ne rates rien.
Et tu n’es pas seul.e.
Et surtout : il existe une autre manière d’obtenir la coopération… sans t’épuiser, sans t’énerver, et sans hausser la voix.
Dans cet article, je te partage les 10 clés qui marchent vraiment pour se faire obéir sans crier — des clés simples, concrètes, applicables aujourd’hui.
Celles qui transforment ton quotidien… parce qu’elles changent la dynamique entre toi et ton enfant, sans violence, sans lutte, sans négociations sans fin.
Prêt.e ? On y va. 💛
On demande souvent à un enfant d’être calme, sage, disponible, patient…
Alors qu’il ne maîtrise rien de tout ça.
L’autocontrôle ?
Pas avant 5–7 ans.
Et encore, ce n’est pas stable.
La gestion de la frustration ?
C’est un apprentissage long, émotionnel, irrégulier.
La notion de priorité ?
Quasi inexistante.
S’il joue, son cerveau est immergé, littéralement incapable d’entendre une consigne longue ou abstraite.
Ce n’est pas un refus volontaire.
C’est une immaturité neuronale.
Un enfant qui “obéit au doigt et à l’œil” est peut-être juste un enfant…
La coopération ne se force pas : elle se construit.
Alors oui, la société n’est pas (DU TOUT) alignée avec ce que je viens d’écrire… mais clairement, ça ne nous viendrait pas à l’idée de demander à un enfant de calculer la racine carré de 3281474204 de tête… alors pourquoi s’obstine-t-on à faire LA MEME CHOSE vis à vis de son comportement ?
Un enfant coopère quand :
C’est le lien qui ouvre la porte à l’action.
Pas la pression.
(ça marche aussi pour toi, d’ailleurs. Tu vas plus facilement coopérer avec ton chef s’il est cool, non ? S’il te respecte tout-ça-tout-ça ? CQFD).
Le discours long = perte immédiate de l’attention.
Ton enfant n’est pas insolent : il est saturé.
Privilégie :
👉 « On y va. »
👉 « On éteint l’eau. »
👉 « On met les chaussures. »
Tu vas voir : tu gagnes 80 % de tranquillité.
Si tu parles pendant qu’il joue, son cerveau ne t’entend pas.
Pas par manque de respect : par hyperfocalisation.
Avant de dire ta consigne :
La connexion avant l’action, c’est la base pour se faire obéir sans crier.
Les routines ne sont pas des chaînes : ce sont des repères.
Elles diminuent les résistances, les pleurs, les “non”.
Pourquoi ?
Parce que l’enfant sait ce qui vient.
Il est donc moins en lutte.
Et si un imprévu arrive, il le gère mieux :
➡️ parce que c’est le seul imprévu de la journée.
Routines = sécurité = coopération.
(tu veux des routines et semainiers pour enfant à imprimer ? Tu n’as qu’à cliquer !)
Donner un choix, c’est donner un pouvoir d’agir.
Pas n’importe lesquels : des choix fermés, adaptés à l’âge.
👉 « Tu préfères mettre ton manteau maintenant ou commencer par tes chaussures ? »
👉 « Tu ranges les voitures ou les livres ? »
Un enfant respecte mieux ce qu’il a choisi.
Le “range !” ne marche pas.
Le “viens !” non plus.
Ce sont des ordres.
Et les ordres activent la résistance. (je t’encourage à faire le parallèle avec ce que tu accepterais ou pas si ton conjoint ou ta conjointe te donnait un ordre…)
Ce qui fonctionne :
👉 « On commence ensemble. »
👉 « Je t’aide à démarrer. »
👉 « Je reste avec toi deux minutes. »
Le message :
“Je suis avec toi, pas contre toi.”
Un enfant ne peut coopérer que si son cerveau émotionnel se calme.
Nommer = apaiser.
Apaiser = agir.
👉 « Je vois que tu n’as pas envie d’éteindre la télé. »
👉 « Tu es frustré, je comprends. »
Tu n’encourages pas le comportement.
Mais tu reconnais l’émotion.
Et c’est ce qui débloque la suite, car tu reconnais ce qui se passe pour ton enfant, avant de lui dire ce que tu attends quand même de lui et à l’encourager à coopérer.
Le jeu est un outil de régulation et de coopération.
Il rend la transition plus douce, moins douloureuse.
👉 « Mission pompier : pyjama d’urgence ! »
👉 « On range en mode robot ? »
👉 « Tu veux être chef de chantier ? »
Le jeu désamorce 80 % des batailles.
La plupart des refus sont liés à :
Un enfant “rempli”, “apaisé” coopère.
Un enfant vidé résiste.
Avant de demander → observe.
Tu gagneras un temps fou.
Un enfant a besoin de sentir que tu es solide.
Pas autoritaire.
Solide. (d’ailleurs, si l’autorité te monte un peu trop, file lire cet article : autorité parentale, exercer son rôle avec bienveillance)
Quand tu dis :
👉 « Je t’entends. Et maintenant on y va. »
Tu montres que tu as entendu et que tu gardes la direction.
Tu ne t’opposes pas à lui.
Mieux. Tu le guides.
Ce n’est pas ton enfant qui te pousse à crier.
C’est ton système nerveux qui déborde. LE TIEN.
Quand tu te régules :
ton enfant peut s’appuyer sur toi pour se calmer.
Tu n’es pas faible.
Tu es un modèle de régulation émotionnelle. Et c’est un sacré cadeau que tu fais à ton enfant.
On peut tout à fait négocier de temps en temps. (oui oui, même si on nous assomme depuis des années avec le fameux : “si tu cèdes, t’es foutu.e !”)
C’est normal de négocier, c’est humain, et même sain.
La vie n’est pas un règlement militaire, et ton enfant a besoin de voir que le quotidien peut s’adapter.
Mais négocier tout, tout le temps, ça crée de la confusion :
« Parfois on peut, parfois on peut pas, parfois ça dépend de mon insistance… »
et ça t’épuise.
Ce qui fonctionne :
👉 garder des repères stables
👉 être flexible quand c’est possible
👉 expliquer la logique pour que ton enfant comprenne le “pourquoi”
Par exemple :
« Ok pour sauter le bain ce soir, parce que demain c’est mercredi et on se douchera le matin. »
Tu restes le guide.
Et tu restes cohérent.e.
Et ton enfant apprend que la vie, c’est un mélange de règles et de flexibilité.
Si tu veux comprendre pourquoi certaines situations débordent malgré tout, je t’explique tout ça dans ma conférence gratuite :
👉 “Sortir de la confrontation permanente avec ton enfant”
Ce n’est pas une histoire d’autorité.
Ce n’est pas une histoire de “tenir tête”.
Ni même pas une histoire de limite ou de cadre.
C’est une histoire de :
Quand toi, tu changes, tout change autour de toi.
Si tu veux aller plus loin, être accompagné.e, et mettre en place une parentalité plus douce, plus fluide, plus joyeuse…
👉 Tu peux découvrir La Roadmap, ma formation parentale en ligne qui t’aide à :
Tu peux aussi t’abonner au compte instagram de Parentalignés, et parcourir mon site de coaching parental et d’ateliers pour les parents
Se faire obéir sans crier, ce n’est pas une question d’autorité.
Ce n’est pas non plus une question de caractère.
Et ce n’est surtout pas une question de “tenir tête” à ton enfant.
C’est :
Tu n’as pas besoin d’être parfait.e.
Tu as juste besoin des bons outils et d’une relation où le lien passe avant le rapport de force.
Et si tu veux aller plus loin, comprendre ce qui bloque vraiment dans les moments de tension et retrouver un quotidien plus fluide, tu peux regarder ma conférence offerte :
👉 “Sortir de la confrontation permanente avec ton enfant”
Et pour t’accompagner pas à pas, avec du concret, du soutien et des résultats :
👉 La Roadmap, ma formation parentale en ligne, est là pour ça.
A bientôt !
Cécile
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