Il y a quelques années, j’ai vécu ce que beaucoup de parents n’osent pas dire tout haut : des vacances difficiles avec les enfants.
Tu sais, celles que tu attends avec impatience…
Mais qui, une fois lancées, te laissent épuisée, débordée, et parfois même désespérée.
Je rêvais de douceur, de kiff en famille, de moments suspendus.
Et à la place ?
Des levers à 5h du matin à cause du soleil.
Deux enfants qui ne faisaient jamais la sieste (même quand moi j’avais l’œil qui clignait).
Un cerveau en ébullition du réveil au coucher, rempli de to-do lists interminables.
Des journées à courir après le temps…
… avec l’impression de ne jamais en faire assez.
J’avais préparé des activités (des tonnes). Mis la salle de jeux dans le coffre et quasi tout emmené.
J’avais anticipé les repas, les sorties, les jeux.
Mais rien ne semblait suffire.
Je passais mes journées à gérer, prévenir, négocier, recadrer… sans jamais souffler.
Et autour de moi ?
Personne pour comprendre.
J’étais la seule à avoir des enfants à l’époque dans mon entourage proche.
Les autres étaient dans leur chill estival.
Et moi, j’entendais dans ma tête des petites phrases comme :
“Bah t’as choisi hein, cocotte, fallait réfléchir !”
Super. Merci.
Une fatigue qui me collait à la peau.
Et surtout, une culpabilité écrasante.
Et cette petite voix dans ma tête, le soir, qui murmurait :
“Franchement… t’es la pire des mamans.
T’as même pas envie de passer du temps avec eux.”
Je me sentais nulle. Honteuse. En colère aussi.
Et surtout, je comptais les jours avant la reprise.
Pas pour retrouver le boulot avec joie, non.
Mais juste pour fuir.
Fuir cette intensité. Cette surcharge.
Ce quotidien de vacances difficiles avec les enfants qui n’avait rien de reposant.
Pas en hurlant. Pas en fuyant.
Mais en décidant de changer de posture.
J’ai compris que ce n’était pas moi, le problème.
Ni mes enfants.
Mais les croyances que je traînais, souvent sans m’en rendre compte.
Ces injonctions invisibles du type :
Alors j’ai commencé à faire un vrai travail sur moi.
À observer ce qui me plombait.
À déconstruire ces fausses croyances.
Et j’ai créé des outils simples, concrets, applicables direct.
Pas pour avoir des vacances parfaites.
Mais pour sortir de ces vacances difficiles avec les enfants que je subissais chaque année.
Et si c’est le cas, je veux te dire : tu n’es pas seule.
Et non, tu n’as pas “raté” tes vacances.
Tu es juste épuisée par des attentes irréalistes.
Alors j’ai préparé pour toi deux ressources pour t’aider à souffler, sans culpabiliser :
🎁 1. Un petit guide gratuit à télécharger :
👉 7 fausses croyances qui sabotent tes vacances avec tes enfants (dispo dès le 6 juin !)
Pour comprendre pourquoi tu t’épuises… et comment t’en libérer.
🧰 2. Le programme Summer Mummy :
Un mini-programme en ligne à 27€, ultra concret, pour ne plus subir tes vacances difficiles avec les enfants.
Adaptable à toutes les périodes (été, Noël, vacances scolaires ou même les longs week-ends…), il t’aide à :
✅ t’organiser sans t’épuiser
✅ partager la charge mentale avec tes proches
✅ prévenir les conflits et les craquages
✅ remettre du lien, du fun… et surtout du toi
➡️ Découvre-le ici : Summer Mummy – traverser les vacances sans te cramer (il arrive le 20 juin !)
Et si tu veux aller encore plus loin dans cette réflexion, je t’invite à lire :
👉 Organisation d’été : et si tu respirais vraiment ?
Parce que non, être parent ne devrait pas te faire perdre ton souffle.
Et oui, tu as le droit de dire :
“Cet été, j’ai kiffé.
J’ai ri. J’ai pris soin de moi.
Et mes enfants s’en souviendront.”
Avec tendresse,
Cécile 💛
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