Tu veux t’engager dans une éducation sans violence. Éduquer sans crier, sans punir, sans menacer.
Tu es convaincue par les principes de la parentalité bienveillante.
Mais dans le feu du quotidien… tu t’entends hurler. Encore.
Et tu te dis : “Je manque de patience.”
Stop.
Tu ne manques pas de patience.
Tu manques d’outils adaptés pour faire face à un héritage émotionnel que tu n’as pas choisi.
Un héritage que tu portes malgré toi.
Et c’est ce que j’ai envie de t’expliquer ici.
Il y a quelques jours, j’ai accompagné une maman en coaching parental.
Elle était en larmes. Elle m’a dit : “Je crie tout le temps. Je crois que je ne suis pas faite pour être maman.”
Et tu sais quoi ? Elle n’est pas seule.
Beaucoup de parents que j’accompagne se sentent “trop colériques”, “pas assez patients”, “à bout”.
Et pourtant…
🧠 Ce n’est pas toi le problème.
C’est ce que tu portes. Ce que tu as reçu, inconsciemment, et qui te dépasse.
Tu portes des réflexes. Des croyances. Beaucoup de peurs.
Des phrases entendues 1000 fois, qui ont fini par s’ancrer :
“Un enfant doit obéir.”
“Il faut lui montrer qui commande.”
“Si tu ne punis pas maintenant, il va te marcher dessus.”
Tu as peut-être grandi dans un environnement où :
Et tu as vu des colères. Tu en as peut-être encaissé.
Et aujourd’hui, tu rejoues malgré toi ces scènes. Parce que ton corps les connaît. Parce que ton système nerveux les a enregistrées.
C’est ça, le poids de l’héritage émotionnel.
Et il est invisible, intense, quotidien.
On croit que ce sont leurs comportements qui nous font exploser.
Leur lenteur. Leur opposition. Leurs cris.
Mais en réalité ?
Ce qui explose, ce sont des couches entières d’émotions anciennes.
Ce sont des blessures, des peurs, des normes qu’on ne remet pas en question.
Tu crois que tu cries parce que ton enfant traîne pour mettre ses chaussures ?
Non. Tu cries parce que ton corps réagit à une situation qui l’active profondément.
C’est une mémoire.
Pas une décision.
Choisir une éducation sans violence, c’est choisir de résister à ce qu’on a vu, connu, entendu.
C’est un acte radical.
Tu choisis de ne pas frapper,
de ne pas hurler,
de ne pas punir “pour que ça rentre”.
Tu essaies d’aimer sans écraser.
D’écouter sans t’effacer.
De guider sans dominer.
Et tu crois que ce n’est pas assez ?
C’est gigantesque.
Quand tu choisis une autre voie, tu ne trahis pas tes parents.
Tu ne nies pas ce qu’ils ont fait.
Tu reconnais simplement que tu peux faire autrement.
Et que tes enfants méritent un autre départ.
Tu ne choisis pas ce que tu as reçu.
Mais tu peux choisir ce que tu transmets.
C’est un cadeau immense que tu fais.
À toi. À ton enfant. Et à ceux qui viendront après.
On parle souvent de parentalité bienveillante avec des mots jolis, apaisés, tout doux.
Mais soyons honnêtes.
Ce que tu vis n’est pas Instagrammable.
C’est rugueux. Intense. C’est du boulot.
Et tu as le droit :
Tu as le droit de ne pas y arriver tous les jours.
Et tu as aussi le droit de chercher du soutien.
Parce que non, tu n’es pas censée tout porter seule.
Éduquer sans violence, ça ne repose pas sur ton instinct ou ta bonne volonté.
Ça repose sur des outils concrets, des prises de conscience, des espaces où on peut déposer.
Tu n’as pas à savoir comment faire… sans qu’on t’aide à le faire.
Et si tu sens que tu as besoin :
🛠️ Alors je t’invite à découvrir mon accompagnement parental, en individuel ou collectif avec la Parent’aventure : pour retrouver un quotidien plus doux, plus fluide, plus joyeux.
L’éducation sans violence, ce n’est pas une mode.
C’est un engagement.
Une démarche.
Et parfois, c’est dur.
Mais ce n’est jamais vain.
Tu poses des fondations neuves.
Tu t’arraches à ce que tu as connu pour inventer autre chose.
Alors même si tu cries encore, même si tu trébuches…
Tu es en train de briser un cycle.
Et c’est ça, le vrai courage.
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