Tu l’aimes, ton enfant. Plus que tout. Et pourtant, parfois, tu es submergé.e par la colère parentale. Tu cries. Tu t’énerves. Voire tu claques une porte. Et tu culpabilises. Tu te dis que tu es nul.le, que tu vas le blesser, que tu reproduis exactement ce que tu voulais éviter. Cet article est pour toi. Parce que non, tu n’es pas seul.e. Et surtout : non, ce n’est pas une fatalité.
Aujourd’hui, je veux t’aider à comprendre ce qui se passe en toi quand la colère prend le dessus, pourquoi ces réactions disproportionnées existent, et surtout comment tu peux apprendre à les apprivoiser. On va parler de ton cerveau, de ton histoire, de ton réservoir interne… et je vais te proposer des pistes concrètes pour retrouver ton calme (et ta confiance).
Hurler pour une chaussette oubliée. Menacer pour un repas renversé. Te sentir hors de toi quand ton enfant rit alors que tu lui fais une remarque. C’est ce qu’on appelle des réactions disproportionnées. Et ça ne veut pas dire que tu es défaillant.e. Ça veut dire que tu es en surcharge.
Ton système nerveux ne régule plus. Ton réservoir affectif est vide. Ta capacité à prendre du recul est en berne. Et tu exploses.
Ces réactions, aussi violentes ou brusques soient-elles, sont des tentatives de protection. Ton corps tente de retrouver une forme de contrôle. Mais bien sûr, une fois le calme revenu, la culpabilité arrive. Et avec elle, l’impression d’avoir tout raté.
Mais non. Tu n’as pas tout raté. Tu as juste besoin de comprendre ce qui se joue pour reprendre la main. Et ça, c’est possible.
La colère n’est qu’un dessus. Une couche visible. En dessous, il y a souvent d’autres émotions :
Derrière chacune de ces émotions, il y a une histoire. Parfois, cette colère vient aussi de l’injustice : tu n’as pas reçu ce dont tu aurais eu besoin enfant. De l’écoute, de la douceur, de la considération.
Alors aujourd’hui, tu veux bien faire. Tu veux être bienveillant.e. C’est justement pour ça que tu te sens encore plus coupable quand tu cries. Ton écart avec ton idéal est trop grand.
Et parfois, cette colère vient aussi de l’injustice : tu n’as pas reçu ce dont tu aurais eu besoin enfant. De l’écoute, de la douceur, de la considération.
Alors aujourd’hui, tu veux bien faire. Tu veux être bienveillant.e. Et c’est justement pour ça que tu te sens encore plus coupable quand tu cries. Parce que ton écart avec ton idéal est trop grand.
Heureusement, il y a des solutions. Certes, elles ne sont pas magiques. Toutefois, elles marchent, petit à petit. Voici quelques clés concrètes à expérimenter dès aujourd’hui :
Observe ce qui, chez toi, provoque la colère. Les moments (matin, soir), les comportements (cris, provocations), les lieux (voiture, salle de bain)… Plus tu les connais, plus tu peux anticiper.
Crée des rituels pour te ressourcer (même 5 minutes). Boire un verre d’eau, respirer, passer le relais, écouter une musique douce. La colère aime les zones floues et chaotiques. Donne-lui du cadre.
À voix haute, dis : “Je sens que je m’énerve”. Rien que cela peut freiner le tsunami.
Quand tu sens que tu vas exploser, dis-le et éloigne-toi. “Je vais dans la salle de bain 2 minutes. Je reviens.” C’est un acte de responsabilité, pas d’égoïsme.
Prévois des “issues de secours” pour les moments critiques : une chanson à mettre, un appel à une amie, une phrase repère. Tu n’improvises pas quand tu es au bord du gouffre.
Quand tu as crié, tu peux toujours réparer. Et c’est même fondamental. Pour ton enfant, mais aussi pour toi.
Tu ne perds pas ton autorité. Tu gagnes sa confiance.
Tu n’es pas faible. Tu es en train d’évoluer. Et ça demande du courage.
La colère parentale touche tout le monde. Ceux qui ont lu tous les livres. Même ceux qui prônent la bienveillance. Et tout ceux qui aiment à la folie leurs enfants.
Ce n’est pas de la faiblesse. Ce n’est pas un manque d’amour. C’est le signe que tu es humain.e. Que tu ressens. Et que tu veux bien faire.
Et si tu es là, à lire ces lignes, c’est déjà que tu as mis le pied sur un nouveau chemin. Celui du respect de toi, et de ton enfant.
Je t’y accompagne si tu veux. Que ce soit à travers un coaching parental individuel, pour aller explorer en profondeur ce qui bloque ; un coaching parental collectif, pour partager, se soutenir et avancer ensemble ; ou grâce à La Roadmap, mon programme en ligne pour transformer ton quotidien à ton rythme — il existe une porte d’entrée faite pour toi.
Tu peux commencer petit, ou plonger à fond.
Mais sache une chose : tu n’as pas à faire ce chemin seul.e !
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